.png)
Amplifon : de nouveaux bureaux pour accompagner la croissance RH
Paris
Immeuble Magnetik
2 mois
3 mois
2 000 m²
Auparavant installé à Arcueil, Amplifon a déménagé vers l'immeuble Magnetik dans le sud de Paris. Les objectifs étaient multiples : répondre à une forte croissance RH, renforcer la marque employeur, favoriser le retour au bureau, accroître l'engagement des collaborateurs et encourager le bien-être au travail. Pour ce faire, un véritable travail sur la conduite au changement a été réalisé.
.png)
Yannick Roux, Construction Manager d'Amplifon
Groupe Global, avec l’aide de BNP Paribas Real Estate, a su traduire les besoins et les aspirations que nos ambassadeurs nous ont remontés tout au long du process. Outres des open-spaces à taille humaine avec quelques pointes végétales, ils nous ont proposé différents lieux de convivialité et d’échanges, des équipements dans l’air du temps et correspondants aux attentes des collaborateurs. Enfin, notre métier étant lié au son, nos équipes étaient sensibles à cette notion. Pour cela, Groupe Global a apporté un soin particulier à la partie acoustique.
Des « ambassadeurs » pour réfléchir aux nouveaux aménagements
Avec ce déménagement, c'est l'ensemble de l'organisation de l'entreprise qui a été repensé. Neuf directions ont été interrogées pour constituer un recueil de besoins pour les futurs locaux. Des groupes de travail avec des « ambassadeurs », c'est à dire des collaborateurs désignés, ont été mis en place et les retours étaient clairs : un sentiment de manquer de place et de travailler dans des espaces qui n'étaient plus adaptés. Ainsi le choix s'est porté sur un décloisonnement des espaces, pour offrir aux collaborateurs un lieu de travail agile, où les échanges sont plus vivants et qui permet de travailler en flex office de manière optimale.
.png)
Catherine Barret, Responsable Communication d'Amplifon
Notre entreprise a connu un développement croissant et nos ambitions pour l’avenir nécessitaient un nouvel espace de travail. Nos bureaux étaient devenus trop petits pour accueillir tous nos collaborateurs de manière confortable et efficace. D’autant plus que l’agencement et les espaces étaient assez vétustes et n'était plus adaptés à notre organisation. Enfin, nous avons souhaité améliorer le bien-être de nos collaborateurs et renforcer l’attractivité de notre marque employeur.
Déménager pour accompagner sa croissance et favoriser le bien-être au travail
Le siège français d'Amplifon a été transféré au sein de l'immeuble Magnétik dans le 14e arrondissement Paris. Ce choix n'est pas anodin, le bâtiment offre de nombreux avantages et services à ses résidents : un café lounge, un café co-working, une salle de sport, un auditorium, un RIE et près de 5 000 m² de jardins et terrasses. Les grands plateaux de l'immeuble permettent également à Amplifon d'investir 2 000 m² sur un seul et même étage. Ce réaménagement a pour objectif d'apporter une réelle amélioration des conditions de travail, de favoriser les échanges et les synergies entre les collaborateurs d'Amplifon. La création d'espaces créatifs et inspirants, ainsi que l'aménagement de zones plus fonctionnelles, permettent de répondre à ce besoin. C'est aussi un formidable levier pour leur marque employeur et pour la valoriser auprès de leurs futurs talents. Enfin, le choix de l'immeuble Magnétik s'inscrit dans leur démarche RSE, en proposant aux salariés un lieu de travail éco-responsable, certifié HQE et BREEAM.
Plus de flexibilité pour créer du lien et se rencontrer
Le plus grand changement dans cet aménagement vient de la grande flexibilité des espaces. Ils sont facilement modulables, favorisent les rencontres, les échanges et aident à créer du lien. « Les deux espaces favoris sont La Villa, qui permet de nous rassembler lors de moments festifs ou singuliers comme prendre un café, et La Piazza, qui permet de travailler en comité restreint dans une ambiance cozy », partage Yannick Roux. « Les collaborateurs ont tout de suite investi les différents espaces proposés. Ils se sont appropriés les lieux dès le premier jour ! », conclue Catherine Barret.
_edited.png)